Naruto No Koji
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 Une journée pas comme les autres!

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Mizushô Shiburi
# Chuunin de Kiri
Mizushô Shiburi


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Fiche du ninja.
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MessageSujet: Une journée pas comme les autres!   Une journée pas comme les autres! I_icon_minitimeVen 5 Juin - 3:27

Il fait chaud aujourd'hui, le printemps arrive peu à peu dans notre pays. Ca bougeais beaucoup aujourd'hui, ça criait d'un côtés et ça martelait de l'autre côtés. Quant à moi, je m'étais introduit dans la construction d'un bateau de guerre dont la puissance y serait terrifiante. Je marchais, le torse nu, la sueur coulant le long de mon corps, je sentais cette fine brise de mer venir caresser mon dos en sueur. Je portais deux longues planches en bois mesurant plus de dix mètre et pesant plus de trente kilos chacune. Soixante kilos sur une seul épaule, ce travail pourrait bien me faire un très bon entrainement pour mon corps. En soulevant des poids, je pourrais renforcer mes muscles et endurer plus de coups qu'à la normal. Ces deux longues planches en bois serviront à renforcer la solidités de la coque du bateau. C'est à peine le premier jour de travail, nous sommes que six à travailler sur ce bateau, qui sera le prochain bateau à être nommés "puissance et protection". Kiri en sera fière, six hommes prêt à donner ce bateau sa plus grande aventure pour son avenir. Alors que j'emmenais ces deux planches, certain se lançaient des outils et travaillaient mutuellement. Je pouvais entendre le chef du sentier crier des mots, crier pour donner le moral et la motivation aux six ouvriers. Moi? Je suis le septième ouvrier, disont que je suis là pour être en soutien.

La coque du bateau était posés sur un assemblage d'échaffaudage ayant une solidités incroyable. Cet assemblage d'échaffaudage était composés de fer solide et structure renforcés dont la rigidités est incroyablement résistant, capable de supporter plus de trois tonnes. Seul la moitié de la coque du bateau avait été terminer, cela nous prendrais plus d'une semaine à en juger notre système de travaille. Je suis censés travailler dans des endroits qu'aucun humain ne peux aller, mais j'ai décidés de m'y mettre sérieusement. Je doit maintenant posés ces deux planches au côté est du bateau. Non seulement je doit me mettre en dessous de la coque, mais je doit aussi concentrer mon chakra dans mes pieds sans jamais relâcher mon attention en cas d'incident imprévus. Munis d'un maillet et d'une boite de long clous, je doit tout d'abord préparer l'ossature de la coque avant de pouvoir la rendre plus solide. De ce fait, je passais sous la coque avant de poser les deux planches au sol. Je hochais la tête de gauche à droite, laissant le temps à mon cou de s'habituer aux différent poids que je risque de porter. Je me penchais vers les deux planches, laissant ma main droite prendre une seul planche avant de la soulever au-dessus de moi et de le poser contre un support métallique qui retient le poids de la coque. Je mit une bonne demi-dizaine de cloue coincés entre mes lèvres. Je Posais la planche en bois contre toute la longuer du début de coque du bateau. Je prit un clous coincés entre mes lèvres avant de le poser contre la planche en bois. Le support métallique me servait de repaire, à me dire là où je devais mettre les planches de bois qui serviront à faire l'ossature du bateau de guerre.

La chaleur rendait les travaux plus dur, c'était comme si le soleil nous pompait notre énergie vital. Mais chacun des ouvriers avaient tous penser à ammener une bouteille d'eau sur eux. Quant à moi, je n'ai rien prit, histoire de m'endurcir au différent climat sans avoir besoin d'aide extérieur. Les ouvriers prenaient de temps en temps une petite pause, pas moi, je m'acharnais à vouloir construire ce bateau. La nuit tombait à peine, cela se remarquait au climat qui devenait de plus en plus doux. La température tombait peu à peu, laissant juste de quoi nous chauffer un peu. Je m'étais pas arrêter de travailler durant les cinq heures qui ont suivis. L'ossature du bateau était à présent finis, maintenant c'était la coque que l'on devait faire. La nuit dessinait quelque constellations dans le ciel, nous montrant ainsi la venue peu discrète de la lune. L'étoile géante était à son paroxysme, son éclat lumineux éclairant notre chantier. Un feu de camp avait été fait par deux ouvriers voulant faire des heurs supplémentaires. Au-dessus du feu de camp était en train de cuir deux cuisse de poulet à la broche. Je m'étais assis dans la position du lotus, me réchauffant un peu et me reposant tout de même. Les six ouvrier présent, se donnaient du repos en parlant sur leurs situations familière ou bien expliquer leurs façons de se détendre à la maison. L'un d'eux avait attirer mon attention, il expliquait comment se détendre avec ses parents. Cet ouvrier expliquait plus approndément cette façons de se détendre avec ses parents, il disait qu'un bon calin était parfait pour entrenir un lien avec ses parents. Un calin, ouai pourquoi pas, après je n'ai plus que ma mère pour me consoler ou bien m'aider dans des moments difficile.

La nuit fut complètement présente, les six ouvrier et moi étaient tous blottis dans des sacs de couchage, tous dormaient, tous sauf moi. Je regardais le ciel, les bras sous la tête, laissant le ciel apaiser mon regard, pour enfin se refermer un peu et dormir, rêver...
Aucun rêve, juste une simple image, une image me montrant moi, moi faisant une entreinte à ma mère. Cette conversation de détente me fait vraiment penser à des choses étrange, enfin bon. Le jour, le deuxième jour de travail. Le soleil fut le seul facteur de mon réveil, tous se réveillaient à peu presque en même temps, tous sauf un ou deux qui trainaient. Alors l'un des ouvriers bien réveiller s'en allait donner deux ou trois coups de pied à ceux qui ne voulaient pas se réveiller. Je mit mon sac de couchage replier dans son sac, le rangeant proprement dans une caisse posée contre un entrepôt de stockage de poisson. Avec l'aide d'un baril vide, j'y posais ma jambe et fit quelque étirement afin de bien me préparer pour cette journée. Je m'appuyais contre un mur et y posais mes mains afin de bien m'étirer au maximum. Les cris se mirent de nouveaux à se faire entendre, redonnant le moral et la motivation aux ouvriers. La coque était bientôt terminer, mais les planches en bois étaient en manque. Le ravaitaillement en bois n'était jamais en retard ainsi, tous pensaient si il n'y avais pas eu de problème au ravitaillement. Pendant que renforçait la soliditer de la coque, d'autres ouvriers, trois plus précisément, s'en allaient du chantier sur ordres du chef du chantier. Les trois ouvriers partit, ceux-ci allaient sans doute aller se rassurer qu'il n'y avait pas eu de problème au ravitaillement.


Les trois ouvriers restant, n'allaient à présent doubler d'effort vus que le nombre d'homme de main était dangereusement divisés. Je devrais donc renforcer la rigidités du bateau mais aussi m'assurer dans la construction du pont. Je m'aidais de fine latte de fer longue de cinq mètre afin de les placer sur la coque et ainsi de renforcer la solidités du bateau. Ces lattes de fer allaient permettre au bateau d'assurer une bonne défense contre le coup de vague violente mais aussi d'assurer son aérodynamisme sur l'eau. Je plaçais toute les lattes, voir une bonne vingtaine de latte sur la coque du bateau. Si je devais mesure l'ensemble des lattes, je dirais que j'ai posés au moins deux cent mètre de latte en fer sur le bateau. Avec ceci, la solidité de la coque est parfaite contre toute épreuve naturel. Cela fait à présent plus de trois heures que les ouvriers son partit, les trois autres ouvriers ainsi que le chef de sentier se sentent un peu perturbés par ce retard du ravitaillement. Quant à moi, je restais vigilant à ce qui pourrait bien arriver sur le chantier. Je sortit du dessous du bateau afin de me mettre sur le côtés du chantier, d'ici j'aurais une meilleur vue d'ensemble du bateau. La coque était entièrement construire, le pont semblait presque terminer, il ne restait plus que la cabine, le mat et les canons à entreposés dans les cales. Le bateau était grand de plus de dix mètre sans le mat. Il était long de plus d'une quinzaine de mètre et large de plus de six mètre. Alors que je comptemplais le bateau, j'entendis mon nom à travers le pont du bateau. Deux ouvriers avaient besoin de mon aide pour mettre le mat. Je me mettais à fléchir les jambes avant de pousser un bon coup afin de faire un saut. Je repris mon fin de saut en laissant mes mains attraper le rebord du bateau et posés mes pieds sur le bord du bateau, ainsi je me trouvais accroupi sur le rebord. Les deux ouvriers avaient besoin de moi pour soulever le mat en maintenant son équilibre stable. Un système de poulie avait été élaborés pour soulever le mat, ainsi qu'un autre système de poulie avait été construit pour maintenir l'équilibre de la longue buche de bois qui servirait de mat.


Premier marin-"Bon voila, on nage ne plein problème là."

Autre marin-"Ouai car tu vois, si on soulève le mat, son équilibre se renversera contre nous et il risque de tomber et de détruire la coque."

Premier marin-"Et on n'a besoin de toi pour que tu maintiens l'équilibre stable pendant que l'on soulève le mat et que l'on l'incruste dans le trou ici."


D'un signe de tête, je donnais le début du système. Les deux ouvriers se mettaient à deux pour tirer la corde qui allait soulever le mat par le système à poulie. Quant à moi, je tient le corde qui allait servir à maintenir l'équilibre du mat. Les eux ouvriers tiraient sur la corde en s'aidant de leurs pieds pour se donner plus de force. Il laissant leurs pieds coincés contre des objets incrustés au sol, ainsi les deux ouvriers ne risquaient pas d'être emportés par le poids du mat. Moi? Je donnait quand même beaucoup de force pour maintenir l'équilibre, je me servais de mes deux bras pour rester droit, le mat était difficile à maintenir, plus il montait, plus il m'étais difficile de le maintenir droit. Je glissais de plus en plus, cela devenait pénible à la longue. Mais enfin de compte, tout le trois réussissont à mettre le mat en place, après une épreuve de force plus ou moins bien maitrisée. Lorsque ce fut une assurance soulagée qui nous interrompait durant notre mise en place des voiles. La ravitaillement des bois ainsi que le trois ouvriers venaient d'arriver sur le chantier. Les trois autres ouvriers posaient tous la même question "qu'est-ce qui s'est passé?" tous le disaient sans arrêt. Enfin de compte ce fut l'un d'entre eux si mit à expliquer la situation.

Ouvrier-"C'était vraiment trop bête. le truc vraiment à ne pas entendre. La roue du chariot transportant le bois fut brisée au niveau des branches. Alors du coup, on devait attendre que l'un d'entre nous sculpte une roue afin de pouvoir continuer la route."

Autre ouvrier-"C'était vraiment galère, j'ai les mains toute amochée à présent."

Ouvrier-"Bah, reste sur le côtés, il y a plus que la cabine à faire."


La roue du chariot était sculpté de façons rudimentaire, pas très ronde, pas très parfaite, mais ça roulait quand même. Les bois rassembler, on ne perdit pas de temps pour se remettre au travail. Chacun d'entre nous rassemblaient les bois afin de constituer la cabine de pilotage. La cabine était elle aussi entourer de fine latte en fer afin d'assurer une bonne solidités. Les carreaux était doublés, ce qui rendait la sécurité renforcé au niveau des carreaux. Et voila, la barre de pilotage fut en place et c'est le capitaine du bateau qui s'est donnés la joie de poser la barre qu'il allait manoeuvrer avec fierté. Les voiles blanche frottant le vent en produisant un bruit léger. Moi? Je restais en dehors du bateau, laissant mon regard se porter sur les canons sortant du bateau. Les flancs du bateau comportait au total dix trous pour les canons, dont trois canons se trouvaient devant et derrière le bateau.

Ouvrier-"Voila comment s'achève le début d'une manoeuvre titanesque."

Ouvrier-"A qui le dites-vous, on s'est tous mis d'accord pour terminer ce bateau en moins de temps possible."

Ouvrier-"Evidement, en trois jours ça donne de quoi être fier."


Le chef du chantier semblait être fier de ce travail, il avait ce petit sourire de satisfaction. Je me sentais comme rassuré de savoir qu'un nouvel engin va pprotéger Kiri. Alors que je tournais dos au bateau de guerre, j'entendais les cris de joie courir le pont du bateau, j'entendais même le bouchon d'une bouteille sauter. Apparement, ils n'ont plus besoin de moi. Je reculais du chantier, laissant leurs fêtes continuer à plein régime, je ne ferais que les troubler en entrant dans leurs fêtes. Ce n'est pas mon bateau, c'est leur bateau, ils le mérite plusqu'autre chose. A présent j'ai d'autres chats à fouetter, kiri à besoin de mon aide, d'autres mission sont à ma portée.

(P.S j'aimerais avoir l'avis des administrateurs bon sa ma pris du temps a faire mais est-ce que ses beaucoup mieux que mes autres rp répondez moi en message privée merci!)
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