Naruto No Koji
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 Coincée avec cette tristesse [Fini]

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AuteurMessage
Irina Hihara
# Juunin de Ame
Irina Hihara


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Fiche du ninja.
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MessageSujet: Coincée avec cette tristesse [Fini]   Coincée avec cette tristesse [Fini] I_icon_minitimeLun 1 Juin - 13:21

Pourquoi ? Pourquoi la vie est-elle aussi un juste ? Les gouttes tombait et ne faisait que ça, un bruit répétitif se propageait dans la pièce, presque vide à part la boule de poils qui dormait sur le canapé. Ce bruit répétitif commençait à l’agacer, à cause de la solitude qui la peser ? Oui ou non ? Normalement c’était une mélodie qui sonnait bien dans ses oreilles sauf que là vraiment, non ! De plus un nouveau bruit venait la déranger. Son ventre criait famine. Elle avait de nouveau congé, on l’avait chassé de l’hôpital pour x raison, la plus valable pour eux, c’est qu’elle était tout le temps là, sur leur dos à les juger. Un long soupir sortit de cette bouche qui avait tué temps de personne. Quand elle ouvrit les yeux, ce fut son plafond blanc qu’elle revit. Mais elle se sentait trop mal pour pouvoir bouger, si vous ne l’auriez pas oublier la deuxième raison était surtout qu’elle était malade, à cause d’un purée de manufacture qu’elle devait sortir et rentrer pour aller chercher des trucs pour elle autre. Qu’est-ce qu’elle devait faire pour ne plus se sentir aussi mal, surtout que l’envie de bouger était minime, elle poussa un long grognement. Elle détestait être malade, prenant un livre pour lire, mais pendant sa lecture elle s’endormit.
Oh des gâteaux géant, des bonbons, des bons petits plats ce trouvaient devant elle. Elle en avait l’eau à la bouche, s’avançant pour prendre. Une voix retentit pour lui dire de ne pas faire attention à la nourriture. Scrutant d’ailleurs la pièce ou elle se trouvait, elle vit une grande porte aussi grande qu’une maison de poupée, comment elle pouvait passer dans se trou ? C’était la grande question. Une voix résonna dans sa tête, elle la connaissait si bien. Cela déclenche un électrochoc qui la réveilla en sursaut. Il était plus là, il était plus là. Ses yeux lui démangeaient et son nez lui chatouillait. Il lui manquait. Elle se leva directe comme un piquet. Elle marcha, faisant des ronds dans son appartement. Yuki suivait de ses yeux bleu sa maîtresse en se demandant presque ce qu’elle faisait enfin c’est ce qu’on pouvait croire. Irina entendit quelqu’un sonnait, tiens ? Elle se demandait qui était là. Elle ouvrit la porte elle voyait un couple avec un bébé dans les bras, lui demandant si elle pouvait la garder, mais elle était malade ! Ils s’en fichaient, elle prit la chose dans ses bras pour le mettre sur son lit. La shinobi espérait que cette chose n’allait pas bougez et restez coucher sagement ! Elle regarda ce qui avait dans le sac accompagnait de cette chose. Il ressemblait un peu à son frère, de toute façon tous les bébés se ressemblent. Au moment où elle le pensait, elle entendit un cri strident qui arrêta la monotonie, pourquoi ?
Après avoir compris comment cette chose fonctionnait et qui dormait. Elle ne cessait de la regarder avec un sourire au coin de la bouche. C’était comme même mignon. Comment on pouvait faire du mal à un être comme ça. Son index jouait avec la petite main de ce petit ange qui le prit pour le serrer fortement. Un sourire s’installa sur ses lèvres, il était dans son monde à l’abri de tout, ne prenant pas comte de la réalité, cela était si merveilleux. L’innocence d’un enfant, elle prit conscience que jamais elle ne tuerait de bébé, pas des ninjas qui veulent mettre de la destruction dans la vie, ne privilégions pas cette paix qui serait si merveilleuse et absurde, si la guerre et les combats n’existerait plus qu’est-ce qu’elle deviendrait ? Sa vie, son but de tuer sera anéanti pour qu’elle raison pour un mot qui s’appelle paix. Si les combats cessaient il n’y aurait plus de combattant dans ceux qui reste n’auront plus de moyen de vivre. Elle enleva son doigt pour laisse la chose dormir. Elle ne devait pas se laisser aller comme ça, tuant n’importe qui ! Qui se mettrait au milieu de son chemin, son chemin qui n’était pas tout tracer mais elle devait voir pour l’avenir. Des images de son clan avec le clan Uchiwa se mettait dans sa tête s’imaginant avec cet être qui la fascinait, après tout c’était pas la mer à boire. Il avait peut-être tué presque tout son clan, mais il devait être beau, stylé et avoir un but derrière la tête. Pourquoi avoir tuer tout un clan comme ça, sans raison apparente cela n’a pas de sens ! Sa mère avait était chassé du village pour x raison, une raison pour laquelle elle devait découvrir. Un jour, elle connaîtrait la réponse. Bon il fallait plus qu’avoir la patience. Le petit être se réveille puis la regarda, comment elle le sut ? Kokoro gardait un œil sur elle, avec un fin sourire qui se redessina sur ses lèvres. Elle se rapprocha de ce petit être pour le prendre dans son bras.


-Tu t’es réveillés, hein ? Tu penses quoi de ce monde ?

Le bébé ne répondit pas mais c’était un tique, chez toute personne de causer à un truc qui ne répond pas juste parce que ça un cerveau équivalent au notre et qui comprends, enfin c’est ce qu’on dit ? C’est d’ailleurs ce qu’elle se disait pour la réponse pas de réponse donc il ne pouvait pas prendre conscience de quel monde, il était entrain de vivre et d’arriver ? Ses parents ne devaient plus tarder, heureusement d’ailleurs elle en pouvait plus. Fallait-pas oublier qu’elle était malade. Heureusement pour elle quelqu’un toqua à la porte, c’étaient ces parents. Elle prit le bébé et ses affaires et ouvrit la porte. Les parents le reprirent et lui donnèrent un bon plat chaud et du thés, qu’elle remercia. Ils partirent tous heureux et elle seule comme une louve qui attend, le jour j. Son animal ne s’était peut-être pas montrer présente à cause de son envie de dormir mais bon elle s’assit à côté et commença à manger ce qu’on lui avait préparé, avec ses yeux qui lui démangeait, son nez qui coulait, et l’idée qui était plus là. Est-ce qu’elle était en dépression ou vraiment malade ? Elle n’arrivait pas à se faire à l’idée qui n’était plus là, il le faudrait bien un jour mais pas maintenant. Il pouvait toujours franchir la porte de son bureau à l’hôpital, à chaque moment. Cela expliquerait pourquoi elle avait peur de dormir, faisant de l’insomnie.
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