Idatsu Athomora [Test Rp En Cour]

Le Commencement

Près du village du Kirigakure No Sato, plus précisément à la limite de la brume, vit une femme et son mari. Vivant surtout de la récolte des champignons aussi bien comestible que vénéneux voir mortel, la petite famille vivait heureux. Le comble de leur bonheur était certainement le fait qu'il attendait leur premier enfant. Depuis des années les spécialistes leurs disaient qu'ils ne pourraient jamais avoir d'enfant par la cause de la stérilité de la femme. Ce problème se résolus quand un vieil homme leur demanda hospitalité. Le jeune couple dans toute leur charité lui offrit sans aucune méfiance un toit pour dormir. L'homme, ancien ninja de profession, aimait bien raconter ses anciennes histoires de bataille ou encore ses missions périlleuses qu'il avait fait dans l'apogée de sa bravoure. Puis, après quelques histoires aux péripéties amusantes, il leur posa la question qui tue. Il leur demande pourquoi n'avait t-il pas d'enfant? Le visage de la femme s'attrista et l'homme, quand à lui commença à lui compter leur problème. L'homme se leva alors et alla en direction de la femme. Arrivé à proximité, il se détourna vers l'homme et les paroles qui sortir de la bouche de l'homme marquèrent à jamais le jeune couple. Le vieil homme était une ancienne unité médical du village de Kiri surnommé en c'est temps brouillard sanglant à cause du sinistre examen genin qui consistait à faire affronté deux élèves ensemble l'un contre l'autre jusqu'à la mort. Le gagnant, lui, devenait ninja. Dès le plus jeune âge, les ninjas du village du brouillard était donc reconnu pour avoir les mains déjà tachées de sang. Le pire dans cette histoire était bien sure le fait que pour le seul plaisir, les juges jumelait les élèves qui étaient devenu depuis toute ses années amis. Mais le vieil homme posa une seule condition. L'enfant devrait devenir ninja et pour s'en assurer, le vieil homme viendra lui même le chercher pour l'inscrire à l'académie. Les jeunes mariés connaissaient le terrible sort qui était réservé au ninja qui était jugé faible. Voulait-il laissé leur seul enfant a un destin qui, a cinquante pour-cent, le mènerai à la mort? L'invité fit vite de les rassurer. Il leur expliqua que la technique qu'il utilisera puisera en lui même la force pure des shinobi. L'enfant serait en quelque sorte un surhomme.

Malheureusement, l'homme mentait. Il espérait seulement réussir à former un ninja don la doctrine serait en quelque sorte son émissaire pour le futur. Il connaissait lui aussi les risques mais le pouvoir l'aveuglait. Comme il l'avait dit la femme tomba enceinte un mois plus tard se qui fut le début des neuf mois de gestation. L'idée sur lequel leur enfant quittera la maison pour devenir ninja avait complètement partie de l'idée des deux adultes. Puis, après le long moment d'attente, l'enfant tant attendu naquit. Un enfant à la peau blanche et aux yeux rouges. Même si il était grandement différent, l'enfant était tout de suite aimé. Les années passèrent est le jeune garçon grandit. Il apprit pendant ses quelques années toutes les informations possibles sur les champignons, comment les faire cuire ou encore comment en faire un poison mortel. L'enfant était heureux avec ses parents et il n'était pas encore au courant de la close oublié. Le vieil qui lui ne l'avait pas oublié revenait à la petite chaumière décidée de faire du garçon un shinobi.

Se part des yeux horrifier que la femme vit l'homme qui huit ans avant était venu demander l'hospitalité, guérir pour une seule fois sa stérilité et lui donner un fils. Elle se rappela le pacte qu'ils avaient passé. Elle savait qu'elle ne pourrait rien faire pour l'en empêcher. Elle devait tenir parole tel le diable et l'un de ses contrats mortels. Elle sortie donc en trombe de la maison et couru vers la forêt où son fils ramassait les champignons qui faisait vivre la petite famille depuis si longtemps. Quand elle fini par le trouver, qu'elle fut la surprise de voir le vieil homme qu'elle avait cru semé parler avec son enfant. Il lui racontait des histoires de combats, de bravoures et de pouvoirs, celles même qu'il avait racontées au couple il y a de ses sept ans. Le petit Yataki était fasciné à chaque nouvelle histoire qui était conté par l'homme. Quand il vit finalement sa mère arriver, il dit les mots maudits "Maman, je veut devenir ninja". Les mots qui sortir comme des poignards transpercèrent le cœur de la pauvre femme. L'enfant lui, n'était pas conscient qu'il venait peut-être signer son arrêt de mort. Le vieil homme s'approcha de l'oreille de la femme et lui chuchota quelques mots. La femme se tourna et partie à la course vers leur maison. Sur le porche qu'elle avait quitté il y a quelques minutes seulement gisait le corps de son mari. Le pauvre homme avait essayé d'empêcher l'homme âgé de partir avec son fils. Elle savait qu'elle ne pourrait aller chercher son fils et que même si elle voudra le sauver, elle en mourrait certainement. Elle ne pouvait qu’attendre son retour.

Minamoto emmenait l'enfant qu'il venait tout juste de cueillir dans le village ninja. Entant que sbire d'Orochimaru, sa véritable mission était de recruter un maximum de jeune ninja pour les faire peu à peu conquérir le monde ninja. Après quelque jour de marche, les deux voyageurs arrivèrent aux portes de Kirigakure No Sato, le village de la brume. Connus des gardes, n'en faut pas plus pour lui de présenter l'enfant comme son petit-fils et il n'en fallu pas plus pour entrer. Il alla donc acheter un petit appartement pour que l'enfant puisse habiter sous un toi. Il vivra lui aussi sous dans l'habitation et veillera à se que l'enfant ne manque de rien et surtout à se qu'il devienne fort. Le lendemain fut le jour de l'inscription officiel à l'académie de Kiri. L'enfant qui lui ne supportait pas la lumière du soleil à cause de son albinisme avait des cours particulières la nuit. Il du donc l'habitué au fait de ne dormir que quelques heures et ce le jour. Les années passèrent et Yataki ne revit pas sa mère. Il ne savait même plus si elle était en vie. Sa routine devenue deux à trois heures de sommeil, entraînement et étude, il ne s'amusait plus. Minamoto le battait si moindrement il venait à manquer un seul lancé sur les milles qu'il exécutait trois fois par jours. Depuis le temps, l'homme avait gagné gros en jouant contre une jeune femme blonde à la poitrine généreuse et avait pu acheter une maison dans lequel un petit dojo servait au entraînement de son soit disant petit-fils.

Âgé de douze ans, il devait subir le lendemain l'examen Genin. Le même examen qui donnait la réputation de Brouillard Sanglant au village. Demain, Yataki tuera pour la première fois. L'examen, pour le plus grand bonheur commençais vers les minuits ce qui donnais un certain avantage au jeune shinobi qu'était. Comme ses yeux c'était habitué au fil du temps à la noirceur. Tout l’entraînement qu'il avait fait du sombre dojo de Minamoto-Sensei portera enfin ses fruits. Pour la première fois, il rencontrera un autre jeune de l'académie. Comme il étudiait de nuit, personne n'était avec lui dans son cours. Il avait été mit au courant la veille du fait qu'il devrait tuer un autre aspirant ninja. Si il réussirait, il gagnerait à la fois de droit de vivre ainsi que l'ultime privilège de devenir ninja. L'étudiant que devait affronter Yataki se nommait Ideki Neco. Élève de classe moyen, il n'était guère enthousiaste de se battre contre un inconnu lui qui avait tant espéré se battre contre son ultime rival. Les deux préadolescents furent conduits dans le fond de la forêt. On leurs donna à chacun cinq kunaï et vingt shuriken et le combat commença. Yataki qui lui n'avait jamais réellement connut le fait d'être en compétition et le stresse qu'elle sommait chacun des participants domina tout le long. Il gagna son combat à mort après trois longues heures de combat sans merci. Quand il revint à la porte du village, une dizaine d'autres élèves étaient déjà là. L'un se vantait d'avoir tué son compagnon après cinq minutes de combat et un autre essayait tant bien que mal de réaliser qu'il venait de tuer un être humain. Ce fût le jour où Yataki devint ninja de Kiri.

La dernière Mission

Un froid glacial régnait au pays de la neige. Jamais se pays avait connu le printemps. La température saisonnière était facilement de -20 degrés Celsius. Ce pays où l’hiver durait toujours était dévasté par la famine et pas les loups. Depuis quelque temps, une rumeur circule sur ce qu’un criminel de rang A se trouvera là bas. Inquiet, la reine du pays de glace avait fait appelle au village caché du pays du feu. Le Mizukage du temps avait appelé Yataki Monu pour inspecter sur se sujet. Comme le Juunin n’avait aucun élève et était de très bon niveau, il était facile pour lui de régler se problème. Il ne devait pas cherché à trouver le Nuke Nin, seul en avoir la preuve qu’il s’y trouvait. En dernier recours, il pouvait le combattre. Le Kage de Kirigakure No Sato avait remit à son ninja un parchemin et de l’équipement pour affronté les rudesses de l’hiver sans fin. Sur le parchemin, tout les indications sur le présumé criminel si trouvait. De sa taille, son poids, sa couleur de cheveux et son village, à ses techniques connu. Il était tout de même de rang A soi le niveau de Yataki. Selon les dires, le ninja venait de Kiri No Sato et se faisait nommer le Crocodile. On le nommait ainsi à cause qu’il possédait de petites écailles vertes sur son corps et de petites dents pointues dans la bouche. Un véritable monstre de quoi faire peur à un épouvantail. Il était poursuivit pour cause de traîtrise envers le village qu’il servait. Sûrement un déserteur ou un homme qui possédait des informations sur le village pensa le Juunin.

Une fois sur le bateau, Yataki regardait au large. Au loin, il apercevait le pays de la Neige. Le capitaine avait averti qu’ils n’arriveront dans ce pays que le lendemain. De gros Iceberg longeait le bateau le faisait secouer. Plusieurs marins qui étaient abords du cargo de cargaison en avaient le mal de mer. Jamais le ninja n’avait vu autant de gens malades. Plus ils avançaient, plus le ciel s’obscurcissait. De gros nuages noirs étaient venus rejoindre le ciel bleuté. Un violent orage se préparait. Soudain, sans que personne ne l’attende, une énorme éclaire s’abattit sur un glacier géant qui dérivait un peu plus loin. Les matelots qui quelle que temps aux paravents était malades se réfugiais à la cale. Les trouillards avaient peur de la tempête. Yataki lui regardait la mer se déchaîner. Le mouvement saccadé de l’eau et le bruit du tonnerre roulant comme une roue roulant sur une allée de terre battue. Le ninja expérimenté fut déranger de sa transe quand la capitaine vain le voir. Paniquer, le vieux loup de mer l’avertit de rentrez car la tempête s’intensifiait. Sachant son navire insubmersible, il avait confiance qu’ils arriveront à bon port le jour suivant. Yataki entra dans le bateau ou il voyait les vagues géant de chaque coté du navire. Il s’efforçait à réconforté les enfants qui, effrayer, était en état de panique total.

Le lendemain, la tempête se calma. Le bateau n’avait subit que quelque dégât léger, rien de bien grave. Seule une corde c’était détaché. Après un petit recensement rapide, le capitaine remarqua l’absence de deux matelots. Les deux était chargé d’attaché se qu’il y avait sur le pont. Une vague avait du les emporté tous les deux. Le vieux loup de mer qui servait de capitaine fit un petit éloge funéraire en leur honneur. La petite cérémonie fut brève et chargé d’intenses émotions pour ceux qui sens préoccupait mais pour les gens comme Yataki, elle était ennuyeuse. Elle fut brève car il était sur le point d’accoster le port de Yuki. Le majestueux phare du pays de la Neige était maintenant suffisamment visible pour distinguer l’ampoule. Elle ne clignotait pas car le jour était levé. La majestueuse ville qui les accueillait était d’une beauté resplendissante. Pendant l’arrivée, il neigeait. Quel beau tableau pensa le ninja expérimenté. Dans se pays de neige et de glace se cachait un supposé terrible criminel. Tout ce qu’il restait à Yataki à faire, c’était d’éliminer ce ninja qui nuisait tant au village caché de la brume.

En descendant du bateau, il tourna légèrement la tête, histoire de regarder la mer. Elle était si calme. Il entra donc dans le village portuaire du pays de la neige éternel. Pour la première fois de sa vie, il voyait cette merveille blanche. C’était un moment magique, jamais il n’avait rien vu de tel. Se ressaisissent, il parti donc dans la première taverne louche du coin histoire d’écouté les élucubrations des vieux marin ivre. Peut-être y entendra-t-il l’histoire d’un homme reptile ce qui le mettrait sur la piste du criminel. Il trouva donc la plus miteuse de toutes les tavernes qu’il avait vues. La façade était en ruine mais il était toujours possible de lire les lettres grossièrement peinturées. « Le Tire Bouchon Écarlate » lie-t-il à lui-même.

Il passa près de trois heures à écouter toutes sortes d’histoires abracadabrantes et aucunes d’elles ne parlait ou ne laissait le moindrement suggérer l’existence de cet homme. Était-il vraiment là. Il sortit donc se promettant de revenir le lendemain à la même heure et à la même table pour écouter encore un fois les histoires de vieux marins. Il prit donc une marche avant de rentrer à l’auberge où il devait dormir. Cette mission s’annonçait longue et interminable. Le lendemain, comme prévu, il retourna à la petite taverne et cette fois-ci, il y passa la journée. Il y vit toute sorte de monde. De la putain au plus endurci des hommes en passant par le fou du village. Comme il buvait peu, il était mal vu par le tenancier. Un client qui ne paie pas est un client qui ne rapporte pas, tel est la devise. Se fut un homme plus grand que lui qui vain le voir, sûrement le doorman de la place. Il lui demanda qu’une seule chose, de sortir lui rappelant la devise cité plutôt. Voyant que le shinobi ne bougeait pas, l’homme commença à s’impatienter et commença à le menacer. Puit, quelque parole de l’homme vain littéralement attirer l’attention du Juunin. Le fier à bras commençait à le menacer qu’il subirait le même sort que l’autre étranger s’il ne sortirait pas maintenant. Yataki se leva et posa sa lame sous la gorge de l’homme et le fixa droit dans les yeux. Dans la salle, les bruits, les chansons et les paroles avaient laissé place au silence absolu. Même si l’homme était grand et fort, il ne pouvait rien faire face à une épée aussi grosse que Kurotsuki.

Lui demandant sur un ton autoritaire, le ninja de Kiri fut claire sur ça question. « Qui était l’homme que tu as sortit il y a quelque temps? ». La réponse qui lui fut donné lui plut. L’homme avait été expulsé dur bar était bien le Crocodile de Kiri. Se monstre était donc dans les parages. Avant de partir, le géant lui donna un conseil, de ne plus jamais revenir ici. Jetant un dernier coup d’œil, il vit bien les hommes et les femmes étaient en colère contre lui. Et puis, il s’enfichait, il était en mission et c’était les risques voila tout. De plus, il ne reviendra plus dans se trou pourri, que viendrait-il y faire?

Sur les indications de l’homme, il partit donc dans la forêt, là où le criminel aurait ériger sa demeure. Il s’agissait d’une petite cabane en bois dans le fin fond du bois, plus précisément au abord d’une petite clairière. Il y avait bel et bien une cabane et l’homme qu’il recherchait pour tuer était bien là. Mais quelqu'un d’autre ou plutôt plusieurs personnes était avec lui. À se qu’il voyait, des enfants. Il kidnappait donc les enfants mais dans quel but? Faire chanter le village? L’enfoirer, il était donc là pour prendre le contrôle d’un petit village, en tout cas, c’est ce qu’en déduisit le shinobi. D’un grand coup de pied, le ninja entra en fracs dans la cabane effrayant les enfant et d’un geste habile de la main, décapita l’homme à l’aide de sa lame. Il prit la tête de l’homme et la fourra dans un grand sac de jute. Il avait maintenant la preuve de sa mission accomplie. Il ramena les enfants, toujours traumatisé par la vue sanglant que Yataki leur avait offerte. Il ramassa aussi se qui semblait être le journal de l’homme, peut-être apprendrait-il le pourquoi. Pourquoi devait-il tuer cet homme à tout prix. Qu’avait-il fait?

Yataki prit donc le bateau pour le voyage du retour. Pendant tout le long, il resta enfermé dans la cabine qui lui avait été assigné et il lu le journal de la première à la dernière page. Ce qu’il y vu le bouleversa, il avait tué un innocent. C’était bel et bien l’homme que le Mizukage lui avait ordonné de tuer mais, ce n’était pas pour les raisons dictées. Il était tout simplement trop informé. Rien ne disait de quoi. Il avait reçu un congé du Kage pour retourner dans son village natal où il s’occupait de l’orphelinat. L’homme n’était pas un sein, il était tout de même un ninja qui avait les mains taché du sang de ses victimes mais rien ne laissait présager à la moindre traîtrise. Le Mizukage était le traître et si ça se trouve, tout les Kage était pareil, trop peureux pour éliminer eux même leur ennemi, il utilisait les ninja comme lui pour les tuer. Le reste le troubla encore plus. La conclusion qu’il avait fait était donc vraie. L’homme pensait la même chose que lui. Il devait agir, trouver sa rédemption en quelque chose. Il avait maintenant trop fait couler le sang des innocents. Combien de personne avait-il assassiné pour cet homme qu’il admirait tant. Tuer tout les Kage, voila se qu’il devait faire. Une fois pour toute, les ninja serait libre, aucun dictateur sombre à leur tête. Voila l’utopie du monde ninja.

Ce qui n’était pas écrit dans le journal c’est que le Crocodile avait découvert le secret du Mizukage, il était ni plus ni moins un membre de la fameuse Akatsuki. Il ne connaissait pas l’implication total du Kage mais il le savait, il l’avait vu, la tunique noir parsemé de nuage rouge. Voila se qui lui a valu la décapitation de la par de Yataki.

Quand il arriva enfin au village, il alla directement dans le bureau de son supérieur. En entrant dans le bureau, il jeta sur la table la poche de jute qui renfermait la tête de l’homme. Il essaya de cacher les nouveaux sentiments qu’il ressentait envers cet homme ce qu’il réussi tout de même bien. Il eu en retour un chose à lequel il ne s’attendait pas. Des main du Kage, il reçus un masque. Le masque des A.N.B.U., une promotion qu’il avait tant désiré. Il prit le masque sans échanger aucune parole et partie.

Adieu Kiri

Le soleil venait tout juste de se lever. Toujours affalé sur son fauteuil, Yataki ouvrit les yeux. La faible lueur de l’aube reflétait sur le parterre du salon. Se levant, il était finalement décidé qu’il écoutera ses rêves et ses espoirs. Il était finalement décidé, il quittera définitivement le village se soir. Il savait qu’il était dangereux de rester quand on à un plan à exécuter. Il serait sûrement à partir de ce jour un homme recherché. Le ninja se dirigea vers la cuisine où il fit son petit déjeuné. Maintenant assis à la modeste table, il buvait le dernier café qu’il consommerait très certainement dans ce village. Il quitterait cette aujourd'hui sa modeste petite maison aux abords de Kirigakure No Sato. Après avoir terminé son breuvage chaud, il se dirigea dans sa grande bibliothèque choisissant se qu’il emmènera avec lui. Il ne devait surtout pas y laisser ses secrets. Toutes ses techniques ne devaient être connues que par lui et personne d’autre. Son avenir en dépendait plus que tout au monde.

Il installa tous les papiers qu’il n’emportait pas au centre de la table. Ils feront un très bon allume feu le moment venu. Il partie dans la salle qu’il utilisait comme débarra pour y prendre un énorme sac dans le quel il entreposera se qu’il emmène. Les dizaines de parchemin étaient maintenant dans le sac. Il partie maintenant dans sa chambre pour chercher son arme de prédilection, sa fabuleuse épée Kurotsuki. Elle possédait un passé sombre et son futur n’était guère plus clair que le présent. Après l’avoir emmené dans la cuisine il prit finalement son tout nouveau masque A.N.B.U. Il avait l’intension de le redonner à celui qui lui avait remit dans le silence. Que faire d’un présent empoisonné, il devait prendre que le minimum et ceci était tout de même de trop. Il prit donc un simple sac de tissu dans lequel il l’inséra. Il y mit aussi une petite note sur lequel il écrit « Adieu Assassin »

Pour terminer, il fit un grand ménage de la maisonnette. Il était fin près à partir. Il parti en se midi vers le palais du Mizukage. Il tenait dans sa main le sac qui contenait le masque de l’élite de Kirigakure no Sato ainsi que le message de provocation. Arrivé à destination, il eu la net impression d’être venu pour rien. Effectivement, le Kage du village du brouillard n’était pas présent. Sur ment encore une réunion ou encore, il batifole malgré son âge avec les jeunes filles de bas quartier. Même si le principal intéressé n’était pas là pour faire joujou avec, il entra tout de même dans le bureau prétextant qu’il avait quelque chose d’important à déposer sur le bureau. Étant bien connu de l’entourage du Kage, il réussi assez facilement à s’introduire dans le bureau de celui-ci. Il déposa sur le bureau le fameux cas ainsi que son fidèle bandeau ninja. Il ne voulait plus d’appartenance à ce village. Il sera un vagabond, un déserteur, un Nuke Nin. Dès qu’il mettra son plan à exécution, il pourra enfin unifier tout les pays du monde ninja.

En sortant du bureau il entra en collision avec celui qu’il redoutait maintenant. Les yeux du vieil homme firent immédiatement reculer Yataki. Il ne savait pas comment mais le Mizukage savait pour lui. Les yeux de l’homme avaient changé, il n’était plus noir mais maintenant rouge. Le shinobi connaissait cette pupille pour avoir déjà vu en action le ninja copieur de Konohagakure No Sato, Kakashi Hatake. C’était le sharingan. Il devait être prudent. Puis, à son grand étonnement la pupille changea de nouveau. Les vigules qui formait habituellement le dojutsu c’étaient rejoins pour formé une chose qu’il n’avait lui-même jamais vu. Ceci n’était pas un sharingan ordinaire. Il sentait le chakra, il voyait une puissance qu’il ne pourrait très certainement jamais atteindre ou sinon jamais dans l’état qu’il est présentement. Puis devant lui, d’immenses flammes noires s’élevèrent du sol pour atteindre le plafond. Il regarda rapidement sur les cotés, personnes, où était-il. Il n’y avait qu’une solution, fuir.

Il quitta donc la scène par l’unique fenêtre du bureau. Pour une raison qu’il ne connaissait pas, le Mizukage ne fit rien pour l’arrêter, il devait sûrement avoir quelque chose derrière la tête. Le renégat parti donc en direction de sa maison. Quelqu'un avait fait le travail qu’il c’était réservé. De plus, il s’agissait des mêmes flammes noires qu’il avait vues dans le bureau du Kage. Quelle était donc cette puissante technique? Par chance qu’il avait prit soin de bien cacher dans un coin secret que seul lui-même connaissait se qu’il voulait emporter avec lui. Il avait aussi bien fait d’emporter Kurotsuki lors de sa visite au près du Mizukage. Son dernier lien d’attachement à ce village ce détruisait maintenant petit à petit devant ses yeux.

Il pouvait maintenant exécuter le plan pour lequel il avait fait tout ça. Tout d’abord, il devait quitter le village sans se faire voir. Mais avant de partir, il irait manger. Il ne savait pas s’il était recherché présentement mais il avait faim. Après un petit repas qui consiste à être le dîné et le soupé, il se dirigea vers l’une des grandes portes de Kirigakure NoSato. La grande horloge affichait maintenant trois heure et quart. La journée s’achevait tranquillement. Cette nuit il devait quitter le pays du l’Eau pour celui du Thé ou tout autre. La première phase consistant à rassembler des gens partageant une haine commune, histoire de pouvoir l’aider dans cette croisade contre TOUT les Kage. Plus principalement l’Hokage, le Kazekage, le Raikage, le Tsuchikage et pour terminer, le plus cruel d’entre tous, le Mizukage .Son dernier lien d’attachement à ce village ce détruisait maintenant petit à petit devant ses yeux.


Le jour où reviendra à Kiri, ce jour là précisément, le village subira le grand changement. Ce n’est pas pour rien qu’il sera le dernier qui le subira. Ici et là les autres villages qui se sont déjà plier et unifier pourront voir qu’est-ce que la paix. L’entraide en tous. Et les petits villages cachés tel que Amegakure No Sato, Kusagakure No Sato et les autres viendront et aiderons à maintenir la paix commune. L’avènement prochain du pays unis se fera dans le sang soit le langage des hommes. La mort de chaque Kage les réveilleras certainement tous.

Regardant la grande horloge qui affiché déjà l’heure du grand brouillard, une propice pour se sauver, il prit son sac et l’installa sur son épaule. Il prit du même coup son épée et sorti du restaurant. Comme à chaque jour, à la même heure, la vision devenait presque nulle. Il savait que la sécurité était renforcé mais qui savait qu’il était maintenant un autre homme. Il prit la direction de la porte centrale. S’il quittait le village, ce sera par la grande porte qui faisait la fierté du village, cela même qui accueillait les rois, seigneurs et ces assassins qui sont les Kage.

En sortant du village, son choix de destination ne fut pas très compliqué. Il avait prit sa décision bien avant de partir. Amegakure no Sato, le village caché de la pluie soit, un village sans Kage à proprement dit car le pays de la pluie ne faisait pas parti des cinq grandes nations qui étendait sont pouvoir de part entière du monde. Bien sure dans se village, il n’exercerait pas le métier de ninja. Il optera pour une couverture plus sobre soit simple marchant, apprentie forgeron voir autre chose. Avant d’entrer dans le village, il cacherait sa fidel lame à l’abri de tout regard. Personne ne connaitra son identité. Il est mort, voila tout. Et comble de tout, il avait choisi un nom sur lequel il pouvait compter. Il avait aimé le voir sur une des pierres tombale du cimetière du pays de l’eau, un petit bourgeois le portait autre fois, Yataki ne l’avait point connu. Se nom était Idatsu, Idatsu Athomora.

~Souvenir sous la pleine lune ~

Un homme à dit un jour qu’il faut être soit même en tout temps. Être soit même est-il vraiment possible de nos jours en ces temps de violence, de discordes, de trahisons et de haines? Tout d’abord qui somme nous? Marchant sur le bord de la rivière, Idatsu entretenait une conversation avec lui-même. C’était pour lui le seul moyen de redevenir lui-même, de voir le monde sous un œil d’espoir et de voir la cruel utopie de se monde. Bien qu’il avait choisi le nom qu’il porte aujourd’hui, il reste encore au fond de lui Yataki Monu, un homme de passage dans cette vie, qui ne vivra certainement pas assez vieux pour voir ses idéaux fleurir. L’intégration à se village c’était fait tout de même rapidement, quoi que certaine personne se méfie du plus profond elle même de lui, le rejetant et lui jetant par la tête pierre et autre débris. Ces gens n’était que des ignares. De pauvres ignorant sans cervelle qui ne connaitrons pas la rédemption de se monde car pour eux, l’univers s’arrête à leur propre personne.

- Pour revenir à se que je te disais, de bien sombre journée m’attendent…

Idatsu regardait son reflet au dessus de l’eau glacé de la rivière. Il savait qu’il était seul, que personne ne lui répondrait, que n’importe qui pourrait le prendre pour un fou mais y a-t-il meilleur conversation qu’avec soit même. Avec pour seul lumière et seul témoin la lune, il pouvait tout se dire sans commentaires désobligeant. Voilà la solitude d’un exclu, reclus de l’humanité, seul avec soit même. Depuis son arrivé dans le village de la pluie, il avait réussi avec peine et misère à se trouvé un petit travail au salaire de crève faim histoire de passé inaperçu dans se village ninja. Balayer les rue, voilà se qu’il avait accepté. De héros à zéro et ce du jour au lendemain.

-Je me souviens du bon temps, là où il était encore facile de vivre, où je pouvais faire encore confiance en cet homme. Je suis ici depuis quand, deux ans voir même trois, en réalité, je ne compte pas, à quoi sa me serait utile. Quand je suis arrivé ici, personne ne ma aidé, je suis entré de peine et de misère. Tout comme moi, les gens ne me font même pas confiance. Tout comme quand je suis arrivé…

Flash Back

[spoiler]

-Quel temps de chien, et le pire dans l’histoire, c’est que j’ai choisi cet endroit… Mais où avais-je donc la tête. J’aurais du bien m’en douter, le pays de la pluie, le village caché de la pluie, le tout est relié au mauvais temps…

Voilà au moins deux mois que Yataki, déserteur du village caché du brouillard Kirigakure No Sato marchait en s’arrêtant pour manger, dormir ou demander son chemin. Normalement, il aurait prit moins de temps si les gens avait au moins eu la courtoisie de lui donner de bon renseignement. C’est au moins par trois fois que différentes personnes l’avaient guidé de parts et autres du continent. Bien qu’en un seulement deux mois, il n’est pas vraiment possible de faire bien du chemin, le ninja renégat avait quand même passé par le pays du feu, du vent et de la terre. Il à même longé la frontière du pays qu’il cherchait à atteindre. Maintenant au moins, il était finalement parvenu à y entrer sans trop se faire remarquer. Comme si les voyageurs transportaient tous d’énorme épée. Le plus dur resterait surement d’entrer dans Amegakure No Sato, le village caché du pays de la pluie. Pour ce, le dernier Monu (seulement un nom de famille) devrait user de ruse et d’intelligence.

À cause de la pluie torrentielle, Yataki c’était arrêté quelques jours dans un petit village, qui, à première vu, n’était surement pas le plus riche du pays de la pluie. Il espérait au moins prendre un peu de repos avant de partir pour le village qu’il convoitant temps. Qui penserait le trouver là-bas? Et là, un liste de nom retenti dans sa tête… Une fois là-bas, il pourrait, de l’intérieur, commencer la sélection. Qui mérite sa confiance et qui ne la mérite pas. Bien sure, il sait que le tout ne se fera pas en un instant, mais bien à long terme. Il était patient et il savait très bien que présentement, il devait surtout se faire oublier du pays de l’eau. Avant d’entrer dans le petit village, il avait pris soin de bien cacher Kurotsuki, personne ne devait savoir qu’il était shinobi. Il était un simple voyageur du nom d’Idatsu Athomora à la recherche d’un emploi dans le village d’Ame histoire de se rendre utile. Se n’était pas la couverture du siècle mais au moins s’était mieux que rien du tout.